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    Agnès Obel peut accompagner votre lecture....une voix d'ange étreinte de mélancolie, et je vous amène à ce leitmotiv de ma vie...."La vie n'est pas un long fleuve tranquille ..."

    Une idée sur la raison de cette maxime rendue célèbre par le film? Je pourrais vous parler de déménagements (j'en ai peut-être..20, Ou plus!) de séparations, de maladies...la vie quoi!

    Mais tout est oublié, on s'est refait, ici, portés par le passé...

     

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    1. Accueil, ou une vue d'ensemble.(la plainte d'une maman...coeur brisé)
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    3. Mon p'tit truc (les petits trucs qui facilitent la vie!)
    4. Mon feuilleton préféré ( le début d'un roman?...)
    5. Nancy, je te vis...Mon chemin, notre chemin, ou mon arrivée sur Nancy(Une partie du roman...)
    6. Le p'tit plat du jour..attention pas de la grande cuisine, non, du rapide, bon, simple.
    7. Rubrique, je visite...souvent Nancy. Les atouts culturels de la ville.Avec photos!
    8. Rubriques, mes bouquins. Une idée de cadeau!
    9. Photos de Steph...Images à voir!
    10. Je rénove,ou mes créations..
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    https://radioallianceplus.fr/show/au-fil-des-pages/

    Le lien de l'interview.

     

    Les Chroniques de la pouponnière en interview.

    J'ai eu le bonheur de participer à l'émission littéraire de Christian Delord, sur Radio Alliance, "au fil des pages".

    L'exercice n'est pas facile, loin de là!

    D'autant que, pour l'anecdote, je sortais d'une grippe, avec une toux épouvantable. Je me suis dopée de Strepsils en gélule, de collutoire et d'une potion magique de mon crû! A savoir un mélange de citrons, oranges, curcuma, poivre, miel et gingembre. 

    J'avais préparé mon interview en relisant mes Chroniques, car j'ai constaté que j'avais oublié certains passages, certains moments. Je les ai retrouvés avec émotions, et plaisirs. J'ai même trouvé que ce n'était pas trop mal!! Je plaisante! 

     

    Les Chroniques de la pouponnière en interview.

    J'avais anticipé le choix d'un passage, à lire à l'antenne, le choix d'une chanson.

    L'interview commence, la gorge légèrement serrée, et quelques battements de cœur anarchique. Le casque sur les oreilles m'isole de tout bruits extérieur, me recentrant sur la voix de Monsieur Delord et sur la mienne.

    Nous ne sommes plus que tous les deux en conversation...

     

    Les Chroniques de la pouponnière en interview.

    Mes quatre pages de notes resteront à leur place sur la table, sans que je ne les consulte. Mes Chroniques remplissent mon cerveau et je les défends corps et âmes, espérant donner l'influx nécessaire à l'intérêt de cette histoire originale et sincère, à l'impulsion d'achat de mon livre et sa diffusion. 

    A la fin de l'interview, je me sentais plus légère, remplie de gratitude pour ce moment assez exceptionnel pour un quidam.

     

    Les Chroniques de la pouponnière en interview.

    J'avais préparé des muffins au chocolat, et à la myrtille. Nous nous sommes retrouvés avec toute l'équipe de Radio Alliance autour de mes gâteaux! La gourmandise sait réunir surement les gens de tous les âges!  Serait-ce une arme d'alliance?

    Je vous souhaite une bonne lecture si le cœur vous en dit.

    Vive mes Chroniques de la pouponnière qui me font connaître des gens formidables et des situations délicieuses!

     Et vive Radio Alliance!

     

     

    Les Chroniques de la pouponnière en interview.

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    Les Chroniques de la pouponnière. Marius.

    Il vint le temps de choisir la couverture des Chroniques. Isa n'était plus là, je ne pouvais plus m'appuyer sur son professionnalisme.

    On ne pourra pas débattre et choisir ensemble, tester et trouver.

    Non, je dois me débrouiller seule.

    Je recherche dans mes photos, une scène illustrant une maman et son petit, ou sa petite. Que ce soit moi ou une amie, ou ma fille . Je demande à mon amie, à ma nièce des photos d'elles avec leur bébé, de dos, de profil, de face, de loin.

    Puis ma sœur me propose de jolis dessins au fusain.

    Je lui demande de la douceur, des sourires, de la tendresse, tout à la fois, et même plus encore!

     

     

    Les Chroniques de la pouponnière. Marius.

    Les Chroniques de la pouponnière. Marius.

     

     

    Puis, je retrouve une photo de ma fille alors qu'elle avait deux ans. Je me souviens exactement du moment où elle a été prise par un photographe. Au carnaval. Costumée en délicieux petit chaperon rouge, elle était fatiguée par le petit défilé des enfants au centre du village, et cet après-midi qui s'éternisait dans la liesse générale. Sa frimousse adorable et triste est touchante.

     

    Les Chroniques de la pouponnière. Marius.

    Ma sœur a su croquer cette photo et toucher cette touche particulière.

     

    Quant à moi, je tâtonne, encore et encore, jamais satisfaite.

    Il y avait aussi celle-ci.

    Les Chroniques de la pouponnière. Marius.

     

    La complicité, la tendresse, les sourires , la douceur, il y avait bien tous les ingrédients.

    Mais la photo est vieille et pas assez nette pour l'exploiter.

    C'est alors que je retrouve celle-ci...Marius et moi-même, en face à face intime, tout au bonheur de nous retrouver.

    Les Chroniques de la pouponnière. Marius.

     

    Et il va sans dire que celle-ci réunissait tous mes critères de sélections!

     Il ne me restait plus qu'à demander la permission d'utiliser cette photo!

    A sa maman, à son papa, mon fils, et à Marius, le principal intéressé. 

    "Je serai sur tous tes livres? "

    Il réfléchit, les sourcils froncés.

    "Mais ça parle de quoi ton livre?"

    Je lui réponds qu'il traite d'enfants placés.

    "Mais on va savoir que moi, je suis Marius? Pas un enfant placé?

    Et tu vas gagner de l'argent à chaque fois que tu vends un livre? Alors tu vas me donner combien à moi?"

    Depuis le mois de Mars, nous nous rendons de temps en temps à Jouéclub pour mettre à jour nos comptes!

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  • Les Chroniques de la pouponnière. Isa...

     

    Je dédie ce roman à mon mari et mes enfants, bien sûr.

    Mais juste après, j'ai écrit : à Isa ,partie sans prévenir.

    Isa pour Isabelle. On s'en doute. Mais qui est Isa qui se retrouve placée juste après mes proches?

    Pourquoi l'avoir nommée sur cette page?

    Les Chroniques de la pouponnière. Isa...

    Dans mon groupe de rock, il y avait Isabelle au clavier, et Isa à la basse.

    Différenciées par ce petit raccourci.

    Nos musiciens et moi-même, battions le rythme au son de ses cordes toujours justes, bien plantées dans le ton et au cœur de nos chansons. Elle était mon pilier et nos regards s'accrochaient souvent pour vibrer ensemble. Elle grattait quelques fois plus fort juste pour voir ma réaction enchantée. 

    Ces répétitions hebdomadaires, les concerts, les fêtes de la musique nous soudaient, fort, très fort et c'est ainsi que le groupe des "rock climber" a duré 10 ans. Je suis partie depuis 2 ans et demi mais le groupe continue, a évolué différemment.

    Isa n'aimait pas les Beatles, enfin, elle faisait la moue dès qu'on abordait notre seule chanson de leur répertoire.

    Isa râlait quand sa partition était répétitive ou trop facile. Alors elle mettait sa pate et nous surprenait.

    Isa grognait si on ne visait pas plus haut, alors elle a tenté de nous y amener mais on se trainait, accaparés par l'aspect convivial de ce que l'on offrait au public. 

    Isa aimait s'amuser, boire un coup, et rire surtout. Comme nous tous!

    La grande rigueur d'Isa m'a incitée à lui demander de lire mon roman pour quelques avis et corrections. Nous devions ensuite travailler la page de garde ensemble au vu de sa nouvelle orientation en infographie.

    Je suis partie en vacances, dans le sud et un jour, je reçois un message de Patou (voix et percussions).

    "Je suis désolée de vous apprendre que Isa est partie"

    Je réponds aussi sec.

    "Mais elle est partie où?"

    Pas de réponse. Je ne comprends pas ce message, je le trouve incompréhensible, et sans aucun sens. On part vers une destination, on quitte un endroit ou une ville. On ne part pas comme ça!

    Le téléphone sonne. C'est Patou. Mais pourquoi insiste t-elle?

    "Véro.. c'est Patou...Isa, et bien, on a appris sa mort aujourd'hui.."

    Isa? Mais elle ne peut pas mourir comme ça!

    "Son frère s'est rendue chez elle, parce qu'elle ne venait pas au repas familial et ne répondait pas au téléphone. Il l'a retrouvée morte au pied des escaliers. On pense qu'elle a fait un AVC ou une rupture d'anévrisme."

    Je reste avec mon téléphone dans la main et la voix bloquée tout au fond de moi, de chagrin.

    Isa n'est pas enterrée, elle avait choisi la crémation. Cette désinvolture, c'est tout elle.

    Isa n'a pas de tombe, Isa est éparpillée dans une forêt.

    C'est bien toi, Isa, de nous laisser sans toi, sans pouvoir nous recueillir dans un endroit précis et te dire aurevoir.

    J'imagine bien ton petit sourire moqueur, et cet arrangement à ta sauce.

    Avec cette petite histoire, j'espère que je pourrais clore cette fixation sur ce départ si prompt.

    Je t'embrasse une dernière fois, Isa. 

    Les Chroniques de la pouponnière. Isa...

     

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  • Les Chroniques de la pouponnière. Le début de l'aventure.

     

     

    Les Chroniques de la pouponnière sont devenues un vrai livre qui s'achète dans une vraie librairie.

     

     

     

    Les Chroniques de la pouponnière. Le début de l'aventure.

     

    Quand j'ai reçu ce message, j'ai lu consciencieusement les lettres, les chiffres. Très lentement en me délectant de chacun. Cette suite définissait en "code secret" le nom de mon livre qui  entrait ce jour là dans le monde très défini des livres édités.

    Moi, Véronique , mariée , trois enfants, infirmière, je suis auteure.

    Dans ma tête, il y a une petite fille qui sautille, rie, hurle de bonheur, se jette dans l'herbe et regarde le ciel en ouvrant grand les bras. Merci, là-haut. Merci la vie. Merci tous ceux que j'aime et m'aiment si bien.

    Dans ma tête de femme, la gratitude déborde.

    J'ai encore du mal à réaliser que cette aventure soit vraiment allée jusqu'au bout. Toutefois, l'aventure continue, car maintenant, il me faut m'en occuper comme une mère s'occupe de son enfant, et l'élève afin de le rendre autonome.

    Je n'avais absolument pas imaginé cette dimension après l'écriture, la lecture, les relectures, les corrections, les relectures de corrections. Je ne me suis pas occupée de la gestion de l'impression. J'ai signé un contrat avec La liseuse, incarnée par une personne formidable, dynamique, boulimique de travail, cynique, et terriblement respectable. Marc, c'est une grande rencontre dans ma vie.

    Les Chroniques de la pouponnière. Le début de l'aventure.

    Les Chroniques de la pouponnière. Le début de l'aventure.

    Les Chroniques de la pouponnière. Le début de l'aventure.

     Edition La Liseuse, à Dombasle sur Meurthe.

    Article mise en ligne sur Facebook par Marc, mon éditeur.

    Les Chroniques de la pouponnière. Le début de l'aventure.

     

    Je découvre pour la première fois les "Chroniques de la pouponnière", mon livre.

    Olivier est allé chercher le gros et lourd carton, et il trône sur la table de la cuisine. Il me laisse l'honneur de l'ouvrir et décide de prendre des photos de ce moment unique. Il est tellement fier!

    Quant à moi, je suis presque sidérée...Je goûte l'instant me laissant pénétrer par cette réalité tout doucement. Je me laisse le temps nécessaire. Tout est si nouveau.

    Ainsi depuis le 8 Mars je bichonne mes Chroniques. Pour Elles, j'apprends Instagram( Avec l'aide appréciée de #justine_a_coudre, ma  Fille chérie). Je tente de développer mes réseaux, je démarche pour des salons littéraires, des lectures, des dédicaces. 

    Il se trouve que j'ai chanté pendant 10 ans, dans un groupe de rock (école de musique de Dombasle sur Meurthe) et être chanteuse m'a appris à me placer face à un public, à ne plus  être écrasée et inhibée par le trac. Bref, ce fut une bonne mise en route pour cette mise en avant, sans orgueil, avec simplicité et  honnêteté surtout. Comme quoi, rien ne se fait par hasard.

    Les Chroniques de la pouponnière. Le début de l'aventure.

    Ici, je chante avec notre très regretté Jean-Luc au Saxophone.(10.2015)

     

     

     Ce travail de communication se fait un peu au dépend de l'écriture.

    Se vendre est aussi chronophage que l'écriture. Mais je ne peux sacrifier aucune de ces deux activités. Avec cet article, je peux mettre des mots sur cette aventure, et vous entrainer avec moi.

    Dans le prochain article, je vous parlerai d'Isa.

    A bientôt.

     

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  • Les Chroniques de la pouponnière.

     

    Voilà enfin mon livre, les Chroniques de la pouponnière.

    Une aventure de presque 4 ans.

    Un éditeur formidable.

    Je me sens chanceuse et pleine de gratitude.

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  • Dans ma vie de Nîmes, je ne me lasse pas de la beauté naturelle, du patrimoine architectural, de la douceur de vivre de cette ville. Nîmes, ville moyenne, à taille humaine, délicieuse et douce à tout point de vue.

    Voici ma petite promenade du jour.

    On commence par le cœur vert de la ville, je veux parler du jardin de la fontaine, l'orgueil des Nîmois. Je vous le ferai visiter une prochaine fois. Je longe le jardin, et me laisse séduire comme d'habitude par les jets d'eau qui forment invariablement un arc en ciel!

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

    Puis, je longe les quais de la fontaine.

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

     

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

    Voici, la vue globale du quai de la fontaine vue du boulevard Victor Hugo. Le canal est barré d'un barrage de pierre, où barbotent canes et canards au grand plaisir des passants, petits et grands. On distingue les jolis balcons et leurs ferronneries ouvragées en douceur qui ornent chaque façade.

     

    Square Antonin.

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

    En face des quais de la fontaine, on arrive sur le square Antonin. Sur cette jolie place qui adoucit le flux des voitures, les ferronneries, et les jarres sont peintes d'un doux gris qui sait encaisser les rayons du soleil.

    Au milieu trône la statue de l’empereur, Antonin, le Pieux, originaire de Nîmes.

    Je longe la rue de l'Agau, pour m'enfoncer dans le cœur de la ville, vers les Halles(voir article) dans la rue Guizot. Je passe devant  Pokawa (restaurant Hawaïen, spécialisé dans les Poké bowls) qui affiche en gros une flatterie bienvenue! Je vous laisse juge!

     

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

     

    Pour le plaisir des yeux, je photographie, vers la tour de l'horloge, la façade de la célèbre boutique "Souleiado"! Inutile de traduire, n'est-ce pas?

    Qui veut être Nîmois doit posséder au moins une chemise Souleiado! 

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

    Je remonte la rue Guizot, et passe la rue Littré.

    Une petite rue toute imprégnée de moyen âge.

    Dans cette rue, des restaurants avec de bonnes cartes.

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

     

    Une mini placette se cache au milieu de la rue...

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

     

    Je remonte par la rue du grand couvent, un ancien couvent des Ursulines, puis temple protestant.

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

     

    Je me dirige vers la rue de la Lampèze pour grimper sur les hauteurs charmantes de la ville, et cette façade égayée par ces fameuses ferronneries, ces volets ouverts pour laisser entrer la douceur du jour, m'interpelle assez pour la partager avec vous.

    Flânerie à Nîmes, proposition de promenade.

     

    Et nous finirons par cette petite évidence sur fond bleu, bien entendu.

     

     

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