• Non, je n'ai pas parlé de Jack bauer! Pour les fans de 24 heures chrono!

    Je veux vous parler de Franck Bauer, qui n'est autre que le père d'Axel Bauer. On connait le chanteur de "Cargo de nuit" et de "A ma place" avec Zazie.

    Belle gueule, belle voix, guitariste et petits rôles d'acteur!

    Ci-dessous, le clip de "Cargo de nuit":

    Mais si Axel est guitariste, c'est aussi grâce à son entourage familial musical : son père, Franck était tout de même le batteur de Django Reinhardt ( à l'origine du jazz manouche).C'est une sacrée référence!

    Mais le plus surprenant, c'est que Franck Bauer fut le" PPDA "des années 1940-1945.

    Et oui, LA VOIX:

    "Ici Londres, les Français parlent aux Français."...et oui, cette voix est la sienne. Je vous l'avais dit: vous le connaissez!

     

    Et voici la phrase la plus connue au monde, celle qui annonçait le débarquement! Quelle excitation et quelle débordement de joie ont dû éprouver ceux qui la comprenaient!

    "Les  sanglots longs des violons de l'automne

    blessent mon cœur d'une langueur monotone"...poème de Verlaine.( chanson d'automne)


    Il s'était exilé à Londres avec le général, et vivait à quelques mètres des studios de la BBC.

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  • J'ai trouvé mon info du jour sur le site de INA soit l'Institut National de l'Audiovisuel. Une mine d'or des images passées, à se repasser.

    C'est donc sur un flash info télévisé datant de 1991 qu'est révélé le lien véridique entre le Bon Marché et "Le bonheur des Dames" de Zola.

    Le Bonheur des Dames....

    Il s'agit du 11° volume des Rougon-Macquart qui relate la formidable ascenssion d'Octave Mouret qui n'est autre que notre désormais connu "Aristide Boucicot" (article ci-dessous).

    "Une cathédrale de commerce pour un peuple de clients" est-il justement écrit, par Zola...On était jusqu'alors dans les suppositions puisqu'il avait positionné son Grand Magasin, sur la rive Droite de Paris. Certains pensaient qu'il s'agissait "des grands magasins du Louvre" fondé en 1855....Erreur!

    On retrouve dans le grenier du Bon Marché, un rapport signé par l'administrateur de Marguerite Boucicot.

    Celui-ci explique que Monsieur Zola est venu au Bon Marché, le 27 Mars 1882, puiser son inspiration pour écrire un livre.

    Déjà soucieux de la publicité, il espère vivement que ce prochain livre ne sera pas de la même trempe que Germinal!


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  • Aristide Boucicaut monte à Paris à l'age de 19 ans, de sa Normandie natale. Son père était chapelier.Il s'est lui-même formé ,7 années durant, sur les marchés et foires, spécialisé dans la vente de tissus. Cette expérience l'enrichit et tout naturellement, il acquiert d'excellentes techniques  de ventes. Favorisé  par son génie du commerce, il va  poser définitivement toutes les bases du Marketing.L'histoire du Bon Marché...

    Il est employé dans une boutique de la capitale, dans la rue du bac.

    Dans cette même rue, Marguerite  travaille dans la boucherie où Aristide vient manger chaque jour. Elle vient d'un petit village de Saône et Loire, née de père inconnu. Elle suit son oncle sur Paris, dès l'âge de 13 ans alors que sa mère vient de mourir.

    L'histoire du Bon Marché...La chaumière de Marguerite BoucicautChaumière de Marguerite Guérin....

    La pauvre enfant ne sait pas lire ni écrire, mais elle va s'atteler à cette tâche avec opiniâtreté. Elle travaille durement.

    Ces deux-là se sentent immédiatement attirés. Ils s'aiment vite comme s'ils reconnaissaient dans l'autre cette soif d'indépendance, cette énergie à travailler, avancer, à fabriquer de la nouveauté. Contre la volonté de la famille Boucicaut, pour cause de mésalliance, le couple décide de vivre ensemble. Ils auront un fils qui mourra bien trop tôt!

    Ils économisent une somme considérable à force de travail et s'associent aux frères Videau en 1948, à la tête d'un magasin situé Rive Gauche, au coin de la rue de Sèvres et de la rue du Bac.

    L'histoire du Bon Marché...

    Ce magasin  vend draps, tissus, mercerie,  parapluies...et emploie 12 personnes. Mais les frères Videau sont vite effrayés par les idées grandioses et fantasques de leur collaborateur. Ils lui vendent donc leurs parts en 1952, et le couple Boucicot se lâche dans l'univers de la vente. J'imagine qu'ils ont dû se mordre les doigts de cette décision frileuse..!

    Il trouve un investisseur français qui a fait fortune à New York , Maillard. En fait, il s'agit d'un compatriote normand que Boucicaut connait. Il lui présente ses projets tenus secrets  tellement novateurs que personne ne l'aurait suivi...mais Maillard a vu le bouleversement des techniques commerciales New Yorkaise, et il croit que le moment est venu de les appliquer en France! Sans le savoir, ensemble, ils vont créer le concept de La Parisienne si envié dans le monde entier.

    A l'époque, les boutiques étaient spécialisées dans un domaine précis. Les prix n'étaient pas indiqués et il était coutume de marchander chaque achat, si bien que le client n'était jamais sûr du bon prix. De cette période de flou est né l'expression "à la tête du client"! Car il s'agissait bien de cela! Il va favoriser la vente à petits bénéfices pour une vente de masse.

    L'histoire du Bon Marché...

    Aristide Boucicot décide d'agrandir "le bon marché", de réunir tous les achats sous son toit , de placer le client au centre des priorités, d'afficher des prix fixes. L'idée lui serait venue en flanant à l'exposition universelle: il constate que les gens, tous des potentiels acheteurs, aiment flâner au milieu des marchandises en ayant le choix et la liberté d'approche. Ce sera son credo.

    Chaque boutique deviendra un rayon! Les achats seront ainsi facilités! Et les prix seront bas, fait inhabituel...

    Mais surtout, Boucicaut mise sur l'impact du grand magasin sur les femmes. A cette époque, les bourgeoises ou femmes du monde, n'avaient pas le loisir de sortir seule, sans chaperon, si ce n'était pour aller à l'église ou aux œuvres de bienfaisances. Dans cet antre de la consommation, avec la mise en place des modes saisonnières, les femmes se posent, se rencontrent, se divertissent et apprennent l'aliénation de la consommation de la beauté.

    L'histoire du Bon Marché...

    On est en pleine révolution industrielle, l'économie est bien portante, les clients sont au rendez-vous! Les clientes, plutôt! L'ascension du Bon Marché est fulgurante.( l'expression "la bosse du commerce"  car Aristide en aurait été affublé?)

    Et savez-vous que les Boucicaut remboursèrent leur prêt en 8 années! Une période courte au regard de la somme.


    Mais, Boucicaut a su utiliser les bonnes idées de ses collaborateurs. Ainsi, il a observé les méthodes originales de vente de son ancien employeur,Simon Mannoury. Il parait que celui-ci divertissait les enfants de ses clientes en leur proposant une petite promenade à dos d'âne!!! Or quand il a voulu appâter les mères de famille dans son magasin, il a ciblé les enfants.

    L'histoire du Bon Marché...les chromosLes Chromos

    Tous les jeudis (équivalents de nos mercredis), il faisait distribuer gratuitement à tous les enfants présents dans le magasin, une chromolithographie instructive(image ancienne), ou figurant des histoires qui se suivaient. Les enfants étaient complètement accrocs!! Quel diable d'homme!

    Il a quand même créé un catalogue VPC (vente par correspondance) , en 1856.

    Plus de 6 millions de catalogues inondent le Monde!

    Il a dû s'équiper en transport pour assumer ses ventes. On imagine bien l'ampleur de cette entreprise.

    L'histoire du Bon Marché...

    La semaine du blanc,...l'idée lui serait venu en observant la rue à travers les vitres du Bon Marché, alors que l'activité commerciale du mois de Janvier était au plus bas: dehors, la neige tombait, et l'atmosphère ouatée engourdissait la ville. Tout était blanc! Qu'à cela ne tienne, ce sera la semaine du blanc, car il a sorti des armoires tout le linge blanc relégué et l'a placé en avant! 

    il rationalise le travail des employés, met en place des statistique de vente, des règles strictes internes et une caisse de retraites!!!Il utilise la presse, en dictant des articles élogieux, il crée des évènements mondains avec concert et soirées.

    Il décide de changer son Temple de la consommation, et de le sertir d'un écrin à la hauteur de ses ambitions.Il va notamment coiffer le batiment d'une rotonde, et d'une salle de concert pouvant accueillir 1000 personnes.

    L'histoire du Bon Marché...

    Il fait appel à un jeune ingénieur, Gustave Eiffel, (il va s'occuper de la structure métallique)et un architecte Boileau leur permettant d'utiliser le fer pour armature et le verre pour l'ouverture et la lumière.

    L'histoire du Bon Marché...

    Début des travaux en 1869. Fin des travaux en 1887.

    L'histoire du Bon Marché...

    Mais Aristide Boucicot meurt en 1877!

    Il laisse à sa veuve une entreprise de 1788 employés!!! et un chiffre d'affaire...monstrueux! Celle-ci continue heureusement et en 1910, elle est même à l'origine de la création du Lutétia(seul palace de la rive Gauche) pour loger ses clients.

    L'histoire du Bon Marché...Marguerite Boucicaut

    Le couple est à l'initiative de très nombreuses oeuvre de charités et philanthropiques:

    • Une caisse de prévoyance est créée pour les soins de ses employés.
    • Une cantine gratuite.
    • Les employés peuvent déposer leur argent sur un compte épargne.Création de cours du soir pour lutter contre l’an-alphabétisation
    • Une société de secours aux blessés de guerre.
    • Création d'une caisse de retraite

    Marguerite a su gérer l'entreprise en continuant ses oeuvres caritatives, notamment un legs important à un vieux monsieur, s'appelant Pasteur, pour créer un institut de recherche....!

    L'histoire du Bon Marché...

    Marguerite s'est intéressée aussi à son village, Verjux, en faisant construire un pont qui le reliait définitivement à la ville voisine sans avoir à utiliser le bac. Sans parler de l'école...et d'une salle d'asile!

    En 1880, Marguerite crée une Société Civile afin que le Bon Marché puissent rester aux mains des employés du Bon Marché.

    Elle a eu des funérailles grandioses voulues par les employés du Bon Marché.

    Le 12 Décembre 1887.

    Actuellement,Le Bon Marché est Le Rendez-vous chic de Paris et pas bon marché du tout!!On y trouve les nouvelles collections des grands créateurs, les nouveaux designers, la boutique Mariage connue dans le monde entier et La Grande Epicerie avec toutes les tendances culinaires!

    L'histoire du Bon Marché...

    Bref,  il faut aller ,au moins, flâner au Bon Marché.

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  • Le premier supermarché date de 1930 aux Etats Unis.

    Mickaël Cullen.

    Mickaël CullenMickaël Cullen, d'origine irlandaise, après avoir travaillé dans une entreprise de distribution, décide de se lancer dans une aventure, d'autant plus audacieuse qu'elle se situe au moment de la grande crise( krach boursier de 1929, responsable de la Grande Dépression aux USA)).

     

    Mickaël Cullen et son supermarché, le king Cullen.Dans un grand garage, il entrepose des marchandises non vendues, ou acquises en gros. Il crée avant l'heure le discount. Premier concept lancé, et à sa mort en 1936, il gérait une cinquantaine de supermarchés.

     PIGGLY WIGGLY

    Ce phénomène a été favorisé par le nouveau concept de "Libre-Service" inventé en 1916 par Clarence Saunders, à Menphis dans le Tenessee.Le concept fut breveté l'année suivante.La pierre blanche.

     Ainsi est née la corporation Piggly Wiggly devenue une enseigne de grande distribution. Une enseigne toujours vivace comme on peut s'en rendre compte en visitant leur site: il se veulent proches "de chez vous"! Curieuse enseigne: PIG=cochon. D'où le motif sur les devantures.Piggly wiggly

     

     

    En France.

     Le phénomène n'arrive en France que dans les années 1960.

     1958 à Paris.

    Le supermarché, Libre-service, Bardou.

    libre-service Bardou

     

    A l'origine, il s'agissait seulement d'une " Grande epicerie" située dans le 17°arrondissement. Elle fut transformée en Super Marché Libre-Service de 750 mêtres carrés. Une surface grandiose pour l'époque avec le principe du self-service...

     Il faut se replonger dans le contexte de l'époque pour comprendre la révolution qu'a représenté ce concept de vente! un réel bouleversement tant pour les vendeurs que pour les acheteurs. 

    L'épicerie Fournier:

    A ce propos, je peux me faire le porte parole d'une personne qui a vécu ces changements. Monsieur Fournier de l'épicerie Fournier! (J'utilise ses conversations qui étayent fort à propos mon article) Je faisais quelques fois mes courses dans une vieille épicerie de quartier à l'époque où je vivais à Saint-Affrique, dans l'Aveyron. En entrant dans cette épicerie vous aviez l'impression de plonger délicieusement dans le temps; un agencement mitigé et indécis entre le libre service et l'épicerie d'antan, une profusion d'odeurs salées, sucrées, fumées, vanillées qui vous obligeait à une analyse sensorielle, remuant en vous toutes les époques! Une envie irrésistible de fouiller toutes les étagères où s'entassaient des produits inattendus, recherchés ou introuvables! Ainsi, au moment de Noël, je me rendais chez eux afin de dégoter des petits personnages en plastic à poser sur la bûche, comme un petit lutin muni d'une hache, ou une scie, de minuscules sapins, des lapins... Mes enfants choisissaient, ravis, exaltés par tous ces choix. On finissait avec les champignons en sucre. Et ce, pour un prix tellement raisonnable!

     Bien sûr, il y avait aussi le coin des bonbons, passage réglé pour fêter toutes sorte d'occasion! Le début des vacances, par exemple! Un évènement aussi heureux se devait d’être honoré à sa juste mesure...  

     L'épicerie était tenue par la famille. Le père et le fils étant le plus souvent présent. Le père à la caisse.Avec le temps, (les aveyronnais sont d'une approche délicate) monsieur Fournier s'est habitué à moi et s'est mis à plaisanter puis à me parler de ce temps si loin qu'il ranimait de souvenirs encore tout chauds, attisés par ma curiosité bavarde.

    "Je vous parle d'un temps"

    "...Quand j'ai ouvert mon épicerie, il y avait une quarantaine d'épiceries sur le quai! Chacun avait sa spécialité!

    Il fallait se lever très tôt; à 6 heures, toutes les échoppes étaient ouvertes. Et au début de mon commerce, je venais juste de me marier, alors vous pensez bien, je préférais rester au lit avec ma femme! J'avais toutes les peines du monde à me lever le matin!

    Et c'était les autres épiciers qui me réveillaient de cris moqueurs. Ils me faisaient honte, en me traitant de fainéant, alors je me levais en toute hâte pour rattraper mon retard sous les quolibets des marchands et des livreurs. Car si on ouvrait aussi tôt, c'était pour recevoir et ranger les marchandises livrées dès le petit matin pour ne pas entraver les journées de ventes. On n'était pas fainéant à cette époque...on travaillait jusque tard et on bénissait chaque journée de labeur. De plus la concurrence était rude.

     Ma femme m'a toujours soutenu. On était 2, puis 3....puis 4.

     Et puis le paysage commercial s'est éclairci. Des boutiques ont fermé. J'ai déménagé pour nous installer un plus grand commerce ici même! Eh oui, avant, on avait une échoppe sur la rue du Général de Castelnau (une petite rue très étroite en sens unique qui se prolonge sur le quai de la rivière "la Sorgue")

     Et alors, on a pu appliquer le principe du" Libre-Service". Une invention pour nous faciliter la vie! Pensez-donc! On n'avait plus besoin de servir les clientes. Il fallait qu'elles se débrouillent toutes seules, elles choisissaient seules. Alors qu'auparavant, on circulait avec la cliente tout au long de son achat. On détaillait tout! Une sardine, 80 grammes de petits pois, 175 Grammes de pâtes fraîches, 50 grammes de farine! Mais c'était comme passer de l'esclavagisme à la liberté! On est devenu fainéant, à cette époque! Hé! Hé! Bref, notre vie a été facilité à partir des années 60, c'est indéniable!

    -Je l'écoutais avec avidité, un peu comme une voleuse de morceaux du passé. Je ne voyais pas les choses ainsi. Pour moi, il s'agissait plutôt d'une libéralisation des clientes, un pas en avant pour elles. Elles devenaient actrices dans la démarche, mais, avec son regard, je constatais qu'elles cumulaient une nouvelle charge de travail,... en quelque sorte! 

    -Je ne me lassais pas de son regard sage et sa philosophie sereine. Et je n'aimais jamais autant faire mes courses que lorsque son magasin était quasi vide...pour voler d'autres épisodes!

     

     Monsieur Fournier était aussi un sujet de curiosité pour mon Minou, car il a eu l'occasion de voir sa vieille DS, "une authentique, je vous prie!". Il ne la sortait que le dimanche pour se rendre au Cap d'Agde! ( Pour les Saint-Affricains, il s'agit de LA Plage! Quand un saint-Affricain va à la mer il se rend au Cap ou à Vias. (juste à côté!!) Ce n'est donc pas du tout, dépaysant de s'y rendre! Vous les retrouvez tous là-bas!)

    Chez Fournier, vous trouvez le meilleur pain de Saint-Affrique, fait dans la meilleure boulangerie de la ville, la délicieuse Fouace de Camarès(une brioche délicieuse compagne de toutes les festivités) , tous les Roquefort de ...? Roquefort, bien sûr! Besoin de cigarettes, d'une bouteille de gaz, de timbres, de pantoufles? Vous trouverez!

    Un endroit à visiter si vous passez près de Millau!

     1960 à Annecy

     Marcel Fournier décide d'ouvrir un magasin d'alimentation au sous-sol de la mercerie de son père. Il s'approvisionne auprès de la maisin de gros Badin -Defforey.

    Le magasin prospère et les deux familles Fournier et Defforey s'unissent pour ouvrir un supermarché situé au carrefour de l'avenue  Parmelan et l'avenue André Theuriet.

    C'est l'origine du nom Carrefour.

     

    Carrefour Annecy


     Ils sont poussés dans leur projet par la crainte de voir Edouard Leclerc les devancer: celui-ci vendait des produits alimentaires dans un hangar mal aménagé.

    Ils décident donc de se lancer dans un supermarché à l'américaine afin de contrer E.Leclerc dans ses projets d'expansion.

     Les grands Noms de la Distribution se faisaient déjà la guerre!!!

    En voilà un autre qui arrive: Gérard Mulliez, en 1961, ouvre son premier magasin à Roubaix dans une usine "Phildar" qui appartenait à son père. (L'enfant bien mérité d'un industriel)...(comme on dit chez moi: "les pies ne font pas des merles"..compris?).

    Auchan Roubaix

     

    L'usine se trouve dans le quartier "les Hauts Champs"...Et voilà, l'histoire! Monsieur Mulliez est à la tête d'Auchan. Nom volontairement choisi pour figurer en tête de liste de l'annuaire!

    Rien ne se fait au hasard dans ces sphères....

    http://ekladata.com/veroandco.blogy.fr/mod_article1858842_9.jpg http://ekladata.com/veroandco.blogy.fr/mod_article1858842_10.jpg http://ekladata.com/veroandco.blogy.fr/mod_article1858842_11.jpg

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